Avoir internet en Corée du Sud : la carte eSIM Corée du Sud de Holafly
La question de la connexion à internet lors d’un voyage à l’étranger est l’une des éternelles questions lorsque l’on prépare son séjour : comment avoir des données à l’étranger, en Corée du Sud ? Quel service choisir ? Forfait illimité ou non ?
Les options sont nombreuses, et c’est bien pour ça que la question se pose à chaque fois. Dans cet article, je vous présente l’eSIM Corée du Sud de Holafly : les intérêts d’avoir accès à internet pendant votre voyage, les avantages de Holafly, et mon avis sur leur service.
Cet article est sponsorisé par Holafly avec qui j’ai déjà collaboré dans le cadre de mon article Pocket Wifi ou carte SIM au Japon ? en 2022. Depuis, Holafly me suit dans tous mes voyages, que ce soit au Japon ou en Corée du Sud, gage que je suis plus que satisfaite de leur service. C’est pourquoi j’ai accepté de renouveler le partenariat pour vous présenter l’eSIM Corée du Sud.
Internet en Corée du Sud : pourquoi faire ?
Lors de notre premier voyage en Corée du Sud en 2019, dans le cadre d’un séjour d’une semaine à Séoul, nous avions fait le choix de nous passer de tous moyens de connexion à internet. Enfin, je parle de choix, mais c’est en réalité à cause d’une grosse méconnaissance des possibilités (et d’une flemme aiguë à chercher) que nous avons plutôt subi l’absence de connexion à internet en dehors de l’hôtel. Nous nous étions arrêtés au fait que « Google Maps ne marche pas en Corée » et que c’était certainement la seule utilité que nous aurions de notre téléphone lors du voyage.
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Mais les choses ne sont pas si simples que cela : tout d’abord, Google Maps fonctionne. On peut voir la map et voir notre localisation, ce qui nous permet de nous repérer facilement, et l’on peut regarder les avis d’un restaurant ou d’un café avant de se décider à y entrer ou non. Ce qu’on ne peut pas faire, c’est créer un itinéraire. Et encore, cette incapacité se limite aux itinéraires à pied et en voiture. Pour ce qui est des transports en commun, vous pouvez.
Alors, oui, l’utilisation est un peu réduite, mais elle n’en reste pas moins possible. Ensuite, si la création d’un itinéraire à pied ou en voiture est vraiment nécessaire, il y a des alternatives comme Naver Map (disponible sur iOS et Play Store), Kakao Map (disponible sur iOS et Play Store) ou même Mappy, plus connue chez nous.
Avoir internet en Corée du Sud est forcément nécessaire pour utiliser ces applications, et l’utilisation, même réduite, de Google Maps reste utile pour se déplacer, se repérer, voir ce qu’il y a autour de nous et découvrir des lieux qu’on n’avait pas notés, checker les avis d’un commerce, etc.
Ceci dit, cela peut sembler assez superflu pour certains qui arrivent très bien à imaginer et vivre leur voyage sans cela.
Là où la connexion à internet est plus qu’utile en Corée du Sud, c’est pour la traduction.
Dès lors que vous vous éloignez des grandes agglomérations telles que Séoul, Incheon ou Busan, oubliez les menus et toutes autres indications en anglais. Et cela est d’autant plus vrai à mesure que vous vous éloignez des lieux les plus connus par les touristes occidentaux.
On sait que les sud-coréens ont généralement un bon niveau d’anglais, ce qui facilite grandement les choses en ville. Mais ce n’est pas forcément le cas en campagne, et même si on se débrouille en anglais, les accents sont tellement différents qu’on peut avoir difficultés plus ou moins grandes à comprendre et à se faire comprendre.
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Par exemple, je peux citer le superbe temple Guinsa. Malgré la foule sur place qui dénote d’une certaine popularité, les restaurants aux alentours présentaient des menus full coréen, et le personnel sur place était bien embêté de ne pas réussir à communiquer avec nous. Et je ne vous parle pas de tous les marchés de street-food où rien n’est traduit en anglais…
Avec une application de traduction, comme Google Trad, on peut prendre en photo le menu et le traduire instantanément.
Ce problème de manque de texte en anglais se pose également lorsque l’on souhaite faire l’essence, lorsque l’on visite des lieux historiques qui n’ont pas l’habitude de voir des occidentaux, ce qui nous prive des informations relatives aux lieux, et face à certains automates, même dans de grandes villes.
Enfin, le plus non négligeable d’une application de traduction : on peut parler ou écrire, et l’application traduit, à l’oral et à l’écrit, directement en coréen.
C’est extrêmement pratique pour avoir une vraie conversation lorsque l’on ne maîtrise ni le coréen ni l’anglais, et ça ouvre les possibilités d’échanges et de rencontres. Et ça, pour moi, c’est ce qui fait qu’avoir une connexion internet en Corée du Sud m’est incontournable.
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Enfin, je terminerais par le fait que si vous voyagez en mode road trip, en ayant loué une voiture en Corée du Sud, il me semble plus que primordiale d’avoir une connexion internet afin de pouvoir entrer en contact avec l’agence de location si jamais il y a un problème ; ou, encore une fois, pouvoir communiquer avec n’importe qui n’importe où grâce aux outils de traduction si vous tombez en panne ou autre.
Pocket Wifi, carte SIM ou eSIM ?
Pour avoir une connexion internet en Corée du Sud, plusieurs options s’offrent à vous : le Pocket Wifi, la carte SIM, ou l’eSIM.
Le Pocket Wifi est à mon sens le pire choix possible : c’est un boîtier, dans lequel se trouve une carte SIM, que l’on doit récupérer, trimballer dans notre sac, penser à recharger, et bien sûr rendre avant de partir. Je sais que beaucoup ne jurent que par le Pocket Wifi avec comme argument principal qu’on peut s’y connecter à plusieurs dessus, mais c’est aussi souvent le cas des autres options, et même si ce n’était pas le cas, le prix d’un Pocket Wifi est si élevé que plusieurs cartes SIM ou eSIM feraient le même travail, en permettant au passage à chacun de pouvoir se séparer sans perdre sa connexion.
Le Pocket Wifi est pour moi hors course. Il ne présente définitivement aucun intérêt face aux autres solutions.
La carte SIM, elle, est l’option la plus classique et la plus répandue, puisqu’elle convient à tous les téléphones. De nombreuses cartes SIM existent dans le commerce. Vous pouvez vous en procurer en ligne et vous faire livrer chez vous, avant votre départ, ou même en trouver une fois sur place, à l’aéroport ou en ville.
Mais l’option qui m’accompagne à chaque voyage depuis 2 ans, c’est l’eSIM. De plus en plus répandues, ces nouvelles cartes entièrement dématérialisées offrent différents avantages concurrentiels : vous pouvez vous la procurer de n’importe où et la recevoir instantanément dans votre boîte mail, et vous n’avez pas besoin de retirer votre carte SIM française pour lui laisser la place (au risque de la perdre au passage !). Le tout pour une connexion sans faille, même dans les coins les plus reculés.
L’eSIM Corée du Sud de Holafly : mon avis
Jeune entreprise espagnole qui a vu le jour en 2017, Holafly est portée par une équipe qui grossit d’année en année grâce à son positionnement commercial particulièrement intéressant pour nous, consommateur : un service 100% dématérialisé (plus de plastique, donc plus de déchets !) et 100% personnalisable ; le tout avec un support client disponible 24h24, 7j/7, par chat ou par mail et une politique de remboursement flexible.
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Les eSIM de Holafly fonctionnent sur un système très simple : les données sont illimitées, et c’est au consommateur de choisir le nombre de jours qu’il souhaite. Les forfaits s’adaptent alors à votre voyage et vous payez seulement ce dont vous avez besoin.
Et si jamais vous avez besoin de plus de journées car vous restez finalement plus longtemps que prévu, il vous suffit de vous connecter à votre compte Holafly pour rajouter des jours sur l’eSIM déjà installée.
L’eSIM Corée du Sud de Holafly fonctionne donc sur ce principe : on choisit le nombre de jours que l’on souhaite, on paye, et on reçoit instantanément l’eSIM dans notre boîte mail. Il suffit ensuite de scanner le QR Code réceptionné pour l’ajouter à son téléphone.
Pour ma part, je la joue toujours pareille : j’installe l’eSIM avant mon départ, en scannant le QR Code, et je l’active une fois arrivé à l’aéroport de destination.
Attention à deux éléments :
- Ne pas activer votre eSIM lorsque vous l’installez mais bien une fois arrivé, afin de ne pas perdre une journée de données.
- Et, bien sûr, vérifiez bien que votre téléphone est compatible avec la technologie eSIM, (si vous passez par l’application Holafly pour passer commande, l’application détecte automatiquement si votre téléphone ne l’est pas).
Pour conclure, je terminerai sur le fait qu’Holafly m’a suivi lors de mes 3 semaines en Corée du Sud, de Séoul à Busan, lors de mon voyage d’un mois au Japon jusqu’à Aomori, et plus récemment lors de mon séjour de 2 semaines en Corée du Sud, de Séoul à Sokcho. Si vous me suivez déjà depuis ces différents voyages, vous savez que j’ai pour habitude de visiter la campagne et les endroits reculés. Les différentes eSIM Corée du Sud et Japon de Holafly que j’ai eu ne m’ont jamais fait faux bond : tout à toujours parfaitement fonctionné, et la facilité d’obtention et d’utilisation est un réel plus.
L’eSIM Corée du Sud autorise le partage de connexion mais, à titre personnel, je trouve qu’il est préférable d’avoir une carte par personne afin de ne pas être dépendants les uns des autres, mais cela peut dépendre de votre manière de voyager.
Où acheter l'eSIM Corée du Sud de Holafly ?
Pour vous procurer une eSIM, rendez-vous sur la page eSIM Corée du Sud de Holafly.
En tant qu’affiliée d’Holafly, je touche une commission si vous passez par mon lien, et vous, vous pouvez profiter de mon code promo de 5% de réduction sur votre carte : ROKUSAN5.
Et vous, vous avez déjà utilisé une eSIM en Corée du Sud ?